Nos enjeux

Parvenir à la reconnaissance de la profession est le principal objectif du Syndicat National des Hypnothérapeutes.

Aujourd’hui, la création d’un socle de connaissances et de compétences est une priorité pour conjuguer croissance et excellence.

Le SNH entend parallèlement développer une réflexion prospective avec le ministère des Solidarités et de la Santé, pour renforcer la prévention, expérimenter des prises en charge innovantes et contribuer à la réalisation d’économies.

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En outre, le SNH préconise de reconnaître la profession d’hypnothérapeute .

Reconnaître la profession pour quels bénéfices ?

– Clarifier le cadre d’exercice de la profession
L’hypnothérapeute est un professionnel de la relation d’aide qui utilise l’hypnose comme un outil de communication. Il n’exerce pas une activité médicale ou paramédicale. Son rôle consiste à permettre à la personne de se (re)mettre en contact avec ses propres ressources pour régler le problème qu’elle rencontre.

– Garantir la compétence des hypnothérapeutes
Actuellement, n’importe qui peut exercer la profession d’hypnothérapeute, y compris les personnes non formées, mal formées ou insuffisamment formées. Il en résulte un risque pour le public. La définition d’un socle de connaissances et de compétences a vocation à le renseigner sur le niveau de qualification du professionnel qu’il consulte.

– Réguler l’activité de la profession
L’encadrement de l’exercice de la profession exige la création d’un titre d’hypnothérapeute. En effet, le code de déontologie, défini par le SNH, ne s’applique qu’à ses seuls adhérents.

– Créer des emplois
L’hypnothérapie est un métier de reconversion pour lequel la maturité et les acquis de l’expérience sont essentiels. En reconnaissant la profession, l’Etat peut contribuer à la création de nombreux emplois, plus particulièrement destinés aux seniors.

1. Entre autres indicateurs, le Baromètre Pages Jaunes 2017 indique ainsi que les recherches portant sur l’hypnothérapie ont augmenté de 530 % en trois ans, passant de 81 783, en 2013, à 514 795, en 2016.